Aujourd’hui, les incertitudes et les risques freinent souvent les ardeurs des particuliers en ce qui concerne les investissements. Outre l’immobilier, ils ont du mal à trouver un domaine où ils peuvent investir avec un minimum de certitude. Désormais, ils peuvent se tourner vers le private equity.
De quoi s’agit-il ?
Le private equity consiste à acheter des actions d’une entreprise non cotée sur les marchés financiers. C’est pourquoi il est également appelé « capital-investissement ». Il existe près de 3 millions de TPE dans l’Hexagone, et plus de 140 000 de PME. Ainsi, une plateforme d’investissement en private equity peut financer une de ces sociétés dans différentes étapes de son existence. Cela peut concerner :
- La création de l’entreprise
- Son lancement ou son développement,
- Son redressement, etc.
Il s’agit donc d’un soutien primordial tout au long du cycle de vie de l’entreprise. Cela concerne celles qui ne peuvent accéder aux traditionnelles sources de financement, ou qui obtiennent des soutiens limités de la part des partenaires financiers. La plateforme d’investissement en private equity constitue par conséquent une alternative intéressante à une introduction en bourse. C’est aussi le cas pour l’appel public à l’épargne, l’emprunt bancaire ou le recours aux fonds propres. Ainsi, cet investissement est destiné à augmenter les fonds propres de l’entreprise. Cependant, si celle-ci ne démarre pas, l’investisseur risque de perdre son argent. Et il risque de ne plus pouvoir vendre sa participation.
Les différentes formes de private equity
À l’heure actuelle, le private equity peut prendre différentes formes. D’un côté, vous avez le « capital retournement » qui consiste à financer une société qui rencontre des difficultés financières. De cette façon, elle va de nouveau faire des profits après avoir subi une phase de réorganisation. Dans ce cadre, l’investissement n’est pas seulement d’ordre financier. La plateforme d’investissement en private equity s’occupe également de la mise en œuvre de la stratégie. De l’autre côté, il y a le « capital transmission ». Il est question d’entrer dans le capital d’une société afin de l’accompagner dans sa cession ou sa transmission. L’exemple le plus simple est celui des actionnaires majoritaires souhaitant se retirer du capital d’une entreprise. Enfin, il convient de citer le « capital développement » qui est encore appelé « capital croissance » ou « growth capital ». Il consiste à financer le développement d’une société qui se trouve en phase de croissance. Cela peut être une croissance externe ou interne. En tout cas, il est recommandé de se tourner vers une plateforme d’investissement en private equity. Celle-ci peut proposer différentes solutions performantes. Il peut s’agir, par exemple, de FPCI ou de FCPR Eco responsable. L’idéal est de choisir une plateforme qui connaît parfaitement les entreprises et les dirigeants d’entreprise dans une région spécifique. De cette façon, ses spécialistes peuvent donner des conseils avisés aux investisseurs. En même temps, ils sont en mesure d’offrir un accompagnement personnalisé à ces derniers.